le départe deMarie-j Aïta

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Marie allait partir, elle le savait et maintenant, c’était sûr.
C’est amis étaient au courant. Elle devait maintenant affronter la directrice. Elle ne devait sûrement pas être extrêmement contente du premier départ de Marie. Même elle, qui est pourtant la directrice, n’avait pas été prévenue. Marie redoutait ce rendez-vous.
Elle était dans les couloirs et elle traînait les pieds pour se rendre jusqu’au bureau de la personne la plus importante du château et de l’école…
Mme La Directrice.

Ca faisait plusieurs fois que Marie-j passait devant la porte du bureau, elle la regardait, mais elle ne rentrait pas ; elle continuait ses tours dans le couloirs. Elle réfléchissait. Ca ne servirait à rien, car même si elle trouvait des bonnes phrases, elle ne parviendrait pas à les ressortir devant Mlle Eidos.

La porte… Marie respira un bon coup et frappa trois coups sur la porte. D’un côté, elle aurait bien aimée que Mlle Eidos ne soit pas dans son bureau, mais d’un autre côté, elle se disait que au moins, elle sera débarrassée.
Elle attendit que la directrice lui dit d’entrer. Elle attendait dans le couloir, à son ronger les sang, toute seule, face à une immense porte.

Comme Marie-J était chanceuse ce jour là! Elisabeth n'était en effet pas dans son bureau, comme elle le souhaitait interieurement.
En effet, Elisabeth revenait de la bibliothèque où elle avait posé ses résumés de cours, et elle aperçut de loin les allers-et-venues de la Flammen.

*Marie-J Aïta...et bien, j'espère qu'elle n'est pas aussi butée que ses parents!*

Elisabeth n'était pas une directrice qui ne s'inquiètait pas du sort de ses élèves et voyant que Marie-J n'était pas revenue de son "voyage urgent familial" elle avait interrogé ses parents. Elle était tombée face à un mur, assez méfiant en plus.
Elle espérait en apprendre plus avec cet entretient inespéré.
Elle avança dans le dos de la jeune fille tout en disant.

"Melle Aïta? Je suis heureuse de vous revoir dans nos murs... et je suis contente de voir que vous soyez déjà devant mon bureau. Il est évident que j'attends des explications."

Elle souriait cependant, toujours heureuse de voir ses élèves.

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Elle souriait cependant, toujours heureuse de voir ses élèves. Marie attendait depuis maintenant un petit moment, et elle avait frappé une deuxième fois, pour être sûre que Mlle Eidos ne soit pas là.
Après un court instant que Marie ne souhaitait pas trop prolonger, la directrice n’avait toujours pas répondu, et Marie en conclu donc qu’elle n’était pas dans son bureau.
Elle était sur le point de partir, soulagée, quand Marie entendu des voix. Une petite voix intérieure lui disait de se retourner, mais Marie avait trop peur que se soit la directrice. Elle attendit alors et entendit son nom, prononcé par Mme la directrice en personne.
Son cœur se secoua dans sa poitrine et elle commençait à angoisser, comme dix minutes auparavant. Marie se retourna et on pouvait voir s’afficher sur ses lèvres un petit sourire crispé.

« Mlle la directrice… »

Marie ne pouvait rien dire d’autre.
Elle était venue ici pour annoncer à Mlle Eidos sont départ et lui expliquer le précédent, mais là, devant elle, elle avait perdu tous ses moyens et ne savait plus quoi dire. Ce n’est pas trop que la directrice en soit lui faisait peur, mais c’était surtout qu’elle ne savait pas comment elle allait réagir.

« Oui, bien sûr… je vous doit des explications… heu, je suis justement venue pour vous parler de ça, et aussi d’autre chose… »

D'un geste du bras, la porte du bureau s'ouvrit pour laisser entrer Marie-J et Elisabeth.

"Bien, si vous avez à me parlez, entrez, nous seront plus tranquilles que dans le couloir!"

Elle sourit et laissa entrer Marie-J.
Elle la suivit et passa derrière son bureau. Elle sortit sa baguette et lança quelques sort. Alors, un petit nuage arrosa, comme souvent, la belle plante du bureau, un chiffon astiqua les coupe de Quidditch de l'école et une elfe de maison arriva devant la porte, portant une carafe de jus de fruits et deux verres. Il les déposa et partit tout souriant.

Elisabeth servit un verre à Marie-J et demanda:

"Alors, Melle Aïta, de quoi voulez vous me parler?"

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Marie était plus que jamais angoissée. Ce n’était pas la première fois qu’elle voyait Mlle Eidos, mais là, ça n’avait rien à voir… Elle était venue pour expliquer on attitude et pour lui annoncer quelque.
La directrice ouvrit la porte avec magie et laissa Marie-j entré dans le bureau.
Marie ne fit même pas attention au lieu. Elle n’avait pas vu les coupes, pas vu le tableau derrière. Elle ne pensait qu’à une chose maintenant qu’elle était là, c’était de tout dire à Mlle Eidos, et de partir au plus vite du bureau.

Marie s’assit sur une chaise, en face de la directrice qui utilisait des sorts pour arroser ses plantes et nettoyer les coupes.
Une elfe de maison avait gentiment posé deux verres et Marie prit celui qui lui était destinée. Elle le but d’un trait, quand la directrice lui demanda ce qui l’emmena ici…

« En fait… voilà, vous avez du vous en rendre compte… j’ai été absente pendant un petit bout de temps, et ça sans prévenir personne… même pas mes amis… Je sais que je n’aurais pas du mais mes parents m’avaient envoyés un message comme quoi je devais rentré tout de suite chez moi… Et le temps de vous rencontrer, je pensais que ça allait durer trop longtemps… »

Marie marqua une pause. Elle regarda la directrice en levant furtivement les yeux dans sa direction. Elle voulait voir comment elle réagissait en apprenant cette nouvelle.

(pardon du retard, donc!!)

Elisabeth vit Marie-J entrer avec une attitude bien distante et étrange. Elle semblait avoir un but fixe et rien d'autre à faire ici.

Elle avala son verre de jus de fruit en quelques secondes et débita ses explications en un laps de temps pas plus long.

Elisabeth écouta, et croisa ses mains devant elle pour répondre.

"Je suis au courant Melle Aïta. Ne vous voyant plus en cours et dans l'école, vous pensez bien que je me suis inquiétée. Cependant, mes hiboux ne trouvaient pas de réponse... J'ai envoyé un membre du ministère chez vous, et il m'a rassurée sur votre présence dans votre famille. Je suis déçue de ne pas avoir été plus officiellement informée, mais rassurez-vous, je comprends que ce n'était pas à vous de le faire. J'ai encore envoyé la semaine dernière un hibou à vos parents, pour demander des explications..."

Elle baissa les yeux, soupira et demanda encore...

"Revennez-vous parmis nous Melle Aïta...? Vous comprendrez que je demande un entretient avec vos parents..."

Invité

(mais c’est pas grave ! lol)

Marie n’était pas très à l’aise face à la directrice. Elle ne savait pas quoi dire, ni comment expliqué le fait qu’elle ne revenait ici que pour annoncer son départ.
Quand elle vit la réaction de Mlle Eidos, elle comprit un peu ce qu’elle allait lui dire et Marie baissa les yeux. Elle sentait son nez piqué, ce qui traduisait une montée de larmes proche. Elle essaya d’être forte et de ne pas pleurer.

Marie écoutait à moitié ce que la directrice lui disait. Sa vue se brouillait et elle sentie une larmes tombée sur sa main. Elle ravala sa salive et passa sa main sur ses yeux. Mlle Eidos venait de lui demander si elle allait rester.
Marie ne pouvait plus se défilée. Elle regarda Mlle Eidos, lui fit un semblant de sourire et répondu à sa question par une réponse très brève.

« non… »

Le cœur de Marie fit un bon dans sa poitrine à cause de ce qu’elle venait de dire, et en fit un autre quand la directrice lui dit qu’elle allait demander un rendez-vous avec ses parents…

« mes parents ? je suis désolée, mais je ne sais pas si il seront d’accord pour venir… je sais pas… mais pourquoi vous voulez les voire ? Enfin, je suis là et je vous ai tout raconté… »

Marie ne pouvait plus tenir aussi longtemps. Elle se laissa aller et laissa les larmes coulées sur ses joues.
Elle se trouvait dans une situation un peu délicate. Elle ne voulait pas partir de cette école. C'était là qu'elle avait tous ses amis maintenant, mais d'un autre côté, elle devait suivre ce que ses parents disaient.

(j'avais tout écrti et mon mess s'est effacé.............)

Elisabeth trouvait ça un peu fort. Elle pouvait comprendre que certains élèves quittent son école, mais ne pouvait accepter des conditions aussi floues.

"Ecoutez...Je ne peux pas rester sans réagir à ce que vous m'annoncez. Ainsi, vous partez, soit, mais qu'en est-il de vos études..? Vous avez bientôt 12 ans, et votre formation sorcière n'en est qu'à son ébauche... allez-vous aller dans une autre école? Je peux vous en conseiller, et vous recommander auprès de mes collègues... Je n'imagine pas que vous cessiez votre scolarité!"

Les parents prennaient donc leurs enfants pour des poupées?.. Sans se soucier de leur avenir, et de leur stabilité??

"Je ne peux vous laisser partir sans rencontrer vos parents... Je suis responsable de vous, et même si je vous fait confiance, vous laisser quitter Elementia sans avoir eu de demande officielle n'est pas possible!! Sinon, cela voudrait dire que n'importe quel élève pourrait venir ici m'annoncer qu'il retourne chez lui, sans preuves, et ainsi, je serais juste là pour cautionner des fugues!! Je suis responsable de vous dans mon établissement, et ainsi j'exige une demande officielle ou une rencontre avec votre famille. Si vos parents ne veulent venir ici, moi, je suis toute disposée à leur rendre visite..."

Elle avait été ferme, malgré les larmes qu'elle avait vu couler sur les joues de la fillette.

"Peut-on au moins joindre vos parents par cheminée?"

Invité

Mlle Eidos, la directrice en rajoutait une couche. Marie comprenait très bien la colère de la directrice, mais elle ne pouvait s’empêcher de verser les larmes. Elle réfléchissait en même temps, et elle se demandait si elle s’en voulait à elle, si elle en voulait à ses parents… à l’école. Elle ne savait plus où elle en était. Une chose était sûre, elle, ne voulait pas partir.

Les paroles de Mlle Eidos avaient du mal à se faire entendre par Marie-J. Son cerveau était comprimé. Les larmes faisait qu’elle ne se rendait plus compte de ce qui se passait. Des bouts de mots étaient perçus par Marie. Elle pu quand même répondre aux questions de la directrice.

« Mes études… je vais les continuer, bien sûr, mais je ne sais pas si je vais les continuer dans une école de sorcier… je ne sais pas vraiment ce que mes parents ont choisi…. *snif*
En fait… »

Marie ne finissait pas sa phrase. Elle ravala sa salive et attendit. Elle n’osa même plus regarder Mlle Eidos dans les yeux, ni même relever la tête.

« Je suis désolée… je sais que je n’aurais pas du partir… »

Marie se sentait de plus en plus mal. Elle n’avait voulu en aucun cas faire du tort à cette école, ni même à la directrice. Elle ne pensait pas en mal, mais elle n’avait pas du tout pensé aux conséquences.

« Mes parents ne m’ont rien donné. Je n’ai rien à vous rendre, pas de papier. Je sais pas…oui, je pense que vous pouvez les joindre par cheminée… »

La directrice avait été ferme sur ses dernières paroles, et Marie ne savait plus où se mettre.

Elisabeth eut un léger soupir...
Les parents aimaient donc tellement faire ainsi souffrir leurs enfants, et les charger des "tâches" pour lesquelles eux-même auraient du faire des efforts??
Ce n'aurait pas du être Marie-J en face d'elle, mais bien ses parents!

Elle se leva et passa un mouchoir à la petite Flammen.

"Ne pleurez plus...calmez-vous. Je semble dure mais vous comprendrez plus tard pourquoi j'agis ainsi...Quel est l'indicatif de votre cheminée?"

(un mot de passe à la c** genre "blubibulga"...)

Invité

Marie ne savait plus quoi dire. Elle ne pensait pas que ce rendez-vous durerait aussi longtemps et soit aussi pénible.
Elle n'osait même plus regarder la directice... Pourtant Mlle Eidos lui endit un mouchoir, que Marie accepta. Son nez coulait et ses yeux étaient devenus rouge et tout mouillés à cause des larmes.

Mlle eidos dit à Marie de se calmer, mais ce n'était pas si facile. Elle ne se sentait pas bien. Elle cessa de pleurer un instant, mais reprit quelques instants plus tard.

"L'indicatif de ma cheminée.. chez moi ? heu, c'est "roots"... mais je ne sais pas si ça va plaire à mes parents tout ça..."

*Dans quelle galère je me suis mise... Je vais me faire gronder part mes parents...*

Elisabeth nota intérieurement l'indicatif, ne relevant pas que cela ne pourrait pas plaire à ses parents. Après tout, beaucoup de choses ne pouvaient pas lui plaire, à elle, et ses parents ne s'en souciaient pas réellement.

Elle sourit à Marie-J, dont l'état de tristesse était de pire en pire, et voulant régler ceci au plus vite, alla vers la cheminée.

Elle prit un peu de poudre de communication et la jeta dans les flammes en disant un "roots" clair et distincts...

Les flammes devinrent bleues et Elisabeth passa sa tête dedans.
Elle vit alors un salon, et appela..

"Monsieur Aïta, Madame? Une communication est à prendre pour vous!"

(j'ai dit salon mais si c'est autre chose dit moi... a toi de jouer tes parents...)

Invité

MArie leva la tête vers la directrice. Mlle Eidos s'était levée et se dirigeait vers sa cheminée. Elle proceda au rituel normal pour correspondre avec les les parents de Marie-J.
Mlle Eidos passa sa tête entre les fammes bleues. Elle "était" dans la maison de Marie. Plus précisement dans le salon.

Les parents de Marie n'étaient pas là. La télévisoion était en marche, mais personne ne se trouvait à l'interieur du salon. Mlle
Eidos appela. Marie était anxieuse. Elle ne savais pas comment allaient réagir ses parents sur le coup, et puis plus tard, quand elle serait de retour chez elle. Elle serra son pantalon dans sa main, le plus fort qu'elle le pouvait.

Les parents de Marie, ayant entendu l'appel de la directrice s'approchèrente de la cheminée. Ils étaient assez surpirs de voir une personne là. Ils ne savaient pas que c'étaient Mlle eidos, directrice de l'école où leur fille étaient encore scolarisée.

"bonjours... que voulez vous ?"

Bientôt, dans le salon désert qu'elle voyait d'abord, Elisabeth distingua deux silhouettes. Elle espéra qu'elle serait bien acceuillie après ses premières paroles.
Elle se lança...
"Bonjour Monsieur, Madame... Je suis Elisabeth Eidos, directrice d'Elementia. J'ai dans mon bureau votre fille, Marie-J, qui me signale un départ inopiné de notre école. Je ne pouvais la laisser ainsi partir sans m'entretenir avec vous sur cette histoire...Vous me comprennez?"
Elle attendit, espérant que tout se passerait bien...