La petite Marie s'était finalement installée. Elle avait récupérée un peu de son voyage et de ces derniers moments relativement éprouvants. Une fois qu'elle avait posée ses affaires dans sa chambre, et une fois reposée, elle decida de se rendre en ville, histoire de visiter. Elle contempla les ruelles. De nombreux magasins s'offraient à elle, et c'était relativement difficile pour la petite fille de ne pa craquer devant la vue de toutes ces nouvelles choses plus ou moins attirantes.
Même si Marie avait gardé un peu d'argent moldu en souvenir, elle savait qu'ici il lui fallait utiliser un tout autre système monétaire. Elle pensa donc que le lieu le mieu placé pour l'aider serait la banque. Elle chercha le batiment du regard, quand elle vit un petit panneau avec un écriteau "banque". Marie s'y dirigea à grand pas.
Elle se trouvait devant la porte mais hésitai à rentrer. Elle était de nature timide. Scotchée devant la porte, elle se repeta dans sa tête ce qu'elle voulait demander.
Elle se decida finalement à pousser doucement la porte qui se trouvait devant elle, mais à peine avait-elle passé la tête à l'interieur de la batisse, que déjà elle entendit des bruits bizares. Elle n'avait jamais entendu celà auparavant. Elle referma alors la porte d'un coup sec. Le temps de respirer un bon coup, de se remettre en tête qu'elle était maintenant dans un monde de sorcier, et elle rouvrit la porte doucement. Il y avait maintenant un silence pensant. Elle ferma la porte derrière elle, en faisant attention de ne pas la faire claquer.
Elle ota le bonnet qu'elle avait sur la tête et dessera son écharpe. Elle s'approchit du comptoir en regardant tout autour d'elle pour explorer les lieux du regard.
C'est alors qu'une voix rauque la fit sursauter
NOM, PRENOM, MAISON !
Marie regarda vers le comptoir. Un petit être se trouvait posté devant elle. Un petit rire étouffé l'obligea à mettre ses mains devant sa bouche pour rester discrète. Même si le gobelin lui faisait peur, elle ne pouvait s'empêcher de trouver cette situation amusante.
"Oui Monsieur, Bonjour Monsieur... heu, Naedon Marie, je suis dans la maison Aéri"
Marie esquissa tout de même un sourire au banquier pour être aimable