NOM : Waloï
PRENOM : Madigrigri
AGE : 11 ans, née le 15 décembre
HISTOIRE : Madigrigri est née en hiver dans un petit village montagneux des Alpes.
Sa mère, descend d’une grande lignée d’Elfes qui sont très proches de la nature. Elle est dotée d’une grande main verte. Elle possède de grands pouvoirs en relation avec la nature et celui qu’elle préfère et celui qui lui sert à faire revivre une arbre ou une plante morte. C’est sa grand-mère qu’il a éduquée. Son père, quant à lui est un grand sorcier renommé pour ses travaux pour la protection de l’environnement et est célèbre parmi les moldus pour avoir nettoyé le lac auprès duquel ils vivent en une journée. Mais ce qu'ils ne savent pas, c’est que c’était un sortilège très puissant de nettoyage qu’il avait utilisé ce jour là ! ^^. Son père a fait ses études à Elementia et était un Flammen.
Avec des parents aussi "écolos", il ne faisait aucun doute que Madigrigri ne le soit pas elle-même.
Madigrigri n’avait manifesté aucune « preuve » de magie avant ses dix ans. C’était à peu après les avoir fêté qu’elle découvrit ses pouvoirs. Elle était partie en randonnée avec plusieurs amies quant elles découvrirent une marmotte prisonnière d’un piège de chasseur en forme de dents. Pendant que ses amies descendaient chercher de l’aide, Madigrigri s’efforçait de libérer la marmotte. Une fois cette tâche accomplie, elle découvrit que sa patte était ensanglantée avec une blessure bien profonde. Elle sortit du désinfectant, des bandages et des ciseaux de son sac (sa petite trousse de secours spéciale randonnée quoi ^^) et entreprit de nettoyer la plaie. Mais le désinfectant, ça pique ! Et la marmotte se débattait dans tout les sens pour essayer de s’enfuir, ce qui ne rendait pas la tâche facile. Elle se mit à penser très fort que si cette plaie pouvait disparaître, cela l’arrangerait beaucoup. Elle le pensa si fort que la plaie s’illumina et doucement la peau se reforma. Il ne restait a la fin qu’une large croûte sur sa patte. La blessure de la marmotte était guérie ! Serait-ce la preuve qu’elle appartenait bien au monde des sorciers ? En tout cas, c’est ce que la petite fille crut ! Elle en fut si surprise qu’elle lâcha l’animal qui en profita pour détaler au loin. C’est à se moment que ses amies réapparurent avec sa mère. Et quand elles lui demandèrent où était la marmotte, elle leur répondit qu’elle l’avait dégagée du piège et comme elle n’avait qu’une égratignure, elle l’avait laissé s’échapper. Ses amies la crurent mais sa mère la fixa étrangement, ce qui mit très mal à l’aise Madigrigri.
N’étant pas sur que son hypothèse était juste, elle n’en parla à personne et garda son secret pour elle jusqu’au jour où un hibou lui apporta une lettre la veille de ses 11 onze ans. Ce jour là elle était sortie avec ses amies et c’est le soir, qu’elle découvrit la mystérieuse lettre :
- Madi, une lettre est arrivée pour toi aujourd’hui, elle a été apportée par un hibou. Et il y a un drôle de sceau dessus, lui dit sa mère.
La fillette ouvrit la lettre et lit.
Une fois sa lecture finie, elle reposa la lettre, troublée : elle avait été admise chez les Terro dans l’école de magie Elementia. Ce qui c’était passé un an auparavant avait donc révélé ce qu’elle était : une sorcière !
- Maman, Papa, murmura t’elle, je crois que je suis une sorcière !
C’est alors que commença le récit du « sauvetage » de la marmotte. Ses parents étaient très fiers d’elle, mais ils n’eurent pas beaucoup de temps pour le lui dire car s’engagea alors une véritable course poursuite contre la montre pour préparer les affaires de leur fille avant l’arrivée du dragon qui devait l’emmener à Elementia.
La nuit tomba quand les bagages de Madi venaient d’être bouclés.
Minuit passa et toujours aucun signe du dragon et la fillette commençait à sentir ses yeux se fermer. Elle ne se réveilla qu’une heure après en sentant le souffle chaud du dragon dans son cou. Elle ne pu s’empêcher de pousser un petit cri de surprise. Elle regarda ses parents qui s’étaient endormi profondément à côté d’elle. Elle hésita à les réveiller mais se résigna : à partir de maintenant elle serait seule à l’école, autant appendre dès maintenant à se débrouiller seul ! Elle eu donc beaucoup de mal à fixer ses bagages sur le dragon qui était bien haut. Mais au bout d’une demi-heure d’efforts intenses, tout était solidement fixé. Elle déposa une bise sur la joue de ses parents et monta avec délicatesse sur le dragon et ils s’envolèrent vers Elementia. Pour elle, une nouvelle vie commençait !
CARACTERE : Madigrigri est volontaire, elle se propose pour aider dans plein de domaines, et cela est fréquent qu’elle le regrette par la suite ! Elle est très débrouillarde et aime le travail bien fait : quand elle commence quelque chose, elle le finit toujours. C’est aussi une amie fidèle sur qui on peut compter. Elle a par contre deux énorme défauts :sa curiosité et sa gourmandise !
PHYSIQUE : Du haut de son mètre 20, on peut dire que Madigrigri est minuscule. Sa petite taille lui permet de se faufiller dans les endroits les plus inacessibles. Elle a les « allures » d’une gamine, ce qu’elle souligne en se faisant chaque matin deux petites couettes dans ses cheveux cuivrés ondulés. Son petit nez retroussé marque d’avantage cette allure enfantine qu’elle se donne. Elle a des yeux d’un marron qui rappelle la couleur de l’écorce d’un arbre. Etant donné que sa mère est une elfe, il n’est pas étrange de retrouver chez sa fille des oreilles pointues bien qu 'elles le soient beaucoup moins.
PARTICULARITE : Elle est très proche des animaux et en particulier de son petit chat et des chevaux. Initiée à l’éthologie (étude du comportement animalier) depuis qu’elle est petite par sa mère, on peut dire qu’elle sait « parler » le langage des chats en imitant leurs faits et gestes et comprend totalement ce que "ressentent" les chevaux.
Vous la verrez souvent à la bibliothèque ou alors dans son lit avec un livre à des heures avancées de la nuit. En effet, depuis sa plus tendre enfance elle a été bercé dans le bel univers des livres.
Madigrigri adore les couleurs, elle est toujours habillée très coloré, mais elle veille à ce qui est chaque jour une touche de vert sur elle.