Des sucreries pour Minako

Minako regardais la vitrine avec envie.
Elle serais bien entree dans le magasin pour s'acheter des sucreries.
Mais elle craignait pour ses dents

*Avec mes dents, si j'ai des caries, c'est pas chez le dentiste que je vais devoir aller, mais chez le veterinaire*

Elle s'eloigna avec deception

Une demi heure plus tard

Minako repassa devant la vitrine, regarda de nouveau la vitine avec interet.

*Ho, et puis zut. Je rentre quand meme, et puis de toutes facns , je me brosse les dents tout les jours!*
*Allez, j'y vais!*

Elle passa la porte, et arriva devant le comptoir

"Ko...Konichiwa, sama" (Bonjour, monsieur)

Minako sourit au commercant, visiblement il connaissait aussi le japonais

"Oui, je suis eleve a Elementia!"
"Je m'apelles Minako"
Elle s'inclina devant lui

"Votre magasin est....chouette!", elle rit, elle n'utilisait pas souvent de telles expresions

Elle prit la friandise que lui tendais l'homme.
C'etais un caramel qui avais la couleur de l'or. Elle le mit en bouche et eut une sensation etrange, comme si elle venait de mordre dans un morceau du soleil.
Un sensation de chaleur bienfaisante monta en elle comme un vague.
Ca devais etre un morceau d'Ambroisie que elle avais mange.

"C'est tres bon, qu'est ce que c'est?"

"Sinon, vous etes ouvert depuis longtemps?"

Papatissier fut content de voir qu'il ne s'était pas trompé dans son japonais et futravit de voir que Minako avait accepter une de ses friandises.

"A vrai dire c'est une de mes nouvelle création que je fais découvrire au client ...donc je ne lui ai pas encore donné de nom. Ca te dirai de lui trouver un nom vu quevous étes la première à gouter cette sucrerie?"

Il la laissa réfléchir un petit moment tout en répondant à sa seconde question.

"Ca ne fait pas si longtemps que je suis ici, je dirais un mois tout au plus... mais je manque cruellement de compagnie je l'avoue.."

Papatissier soupira et pris une des sucreries. *Heureusement que la brosse a dents existe parce qu'au sinon je serais remplie de carie avec tout ce que je mange comme bonbon...*

*Moi, trouver le nom d'un bonbon!*
*Qu'est ce que je pourrais trouver comme nom?*
*.............*
*.............*
*Je sais!*

"J'ai une petite idee"
"Vous pourriez lui donner le nom de Hizashi ou Rayon de Soleil si vous preferez le nom francais"

Le marchand lui dit que il n'etais la que de puis un mois

"Oh, vous etes un nouveau marchand!"
"C'est peut etre pour ca que je n'avais jamais vu votre boutique"

"En tout cas, j'aime bien votre magasin"

"Ié, Ié, (non, non) vous ne radottez pas!"
"Car seul le sage apelle un chat un chat!"

Minako se tut confuse, elle s'etais rendue compte que elle avais encore sorti un proverbe chinois.

"Soumimassene!" (Pardon)

"Voila, je voudrait quatres boites de chocolat pour offrir...."
"...c'est pour des amis!"
"Ainsi que vingt chocogrenouilles, un paquet de caramiel dore, un paquet de nougats cremeux et deux salamentes. Onegai Chimasse" (S'il vous plait)

Elle esperais que le marchand ne la prendrais pas pour une gourmande

Tout en rassemblant la commande de Minako Papatissier voulut en savoir un peu plus sur cette jeune fille au proverbe chinois.

"Où avez-vous apprit à parler japonais car ce n'est pas donné à tous!"

Il rassembla tout les paquet pour les mettre dans un autre sachet pour le transport et le tendit à la jeune fille. Il essaya ses lunettes en écoutant la petite histoire de la jeune fille. Ensuite il lui donna le montant de son achat.

"Ca vous fera 6 Milh d'argent et 5 de cuivre"

"En fait, le japonais est ma langue maternelle!"
"Car je viens du Japon, de Nagasaki, plus precisement!"

Elle sourit de plus belle au marchand, puis elle sortis six pieces d'argent et cinq de cuivre de son porte monnaie et les tendis au marchand

"Voila, je crois que le compte est juste"

Papatissier recut le compte juste et le mit dasn sa caisse.

"Merci beaucoup j'espére vous revoir un jours..... d'icic la passez de bonne fêtes vous et vos amis!"

Il racompagna la jeune fille jusqu'a la porte et sortit en même temps que elle.

"Brrr il fait froid.... on voit que nou somme en décembre! Bon et bien merci !"

Il fit demi-tour et retourna dans sa boutique où la chaleur régnait.

"Rien ne vaux sont chez-soi comme on dit!"