Stop Affaire [termine]

(J'arrive à peu près de là)

Narcisse descendit la rue jusqu'au magasin de quidditch. Il n'était pas là pour ce sport, il avait si peu d'affinité avec cette occupation, et même quelques mauvais souvenirs remontant à ses années d'écoliers.

Il fit une grimace en arrivant devant la vitrine, mais reprit sa bonne figure presque tout de suite, et c'est souriant qu'il poussa la porte de la boutique.

"Ah ! Madame ! Bonjour... Est ce que le gérant est là ?" demanda t-il en pensant que Fanny n'était qu'une vendeuse.... Il lui fit un sourire charmeur cependant tout en continuant :

"J'ai une affaire à lui proposer, et quelle affaire !" Il s'approcha d'elle et s'assit sur une table, sur une seule fesse, et, sans lui laissait le temps de répondre, lui prit la main et rajouta "Remarquez, s'il n'est pas là, ça m'arrange ! Vous etes délicieuse, mademoiselle..." Et, finalement, il lui baisa la main.

Fanny vit un adulte pénétrer dans sa boutique.

Ce dernier, comme beacoup d'autres, voulait parler au gérnt, pensant que Fanny n'était qu'une simple vendeuse.

*pourquoi est il si impensable que ce soit moi la gérante*

Fanny eut une moue fataliste, trop habituée pour être véxée ou même en colère maintenant.

Le jeune homme, plutôt beau garçon il fallait le reconnaitre, ne manquait en tout cas ni de culot ni de confiance en lui.
Il fit à Fanny un petit numéro de charme des plus basiques.

Fanny n'ayant pas tellement de temps pour jouer prit le taureau par les cornes et s'adressa avec une voix des plus mielleuses à son séducteur.

"Bonjour à vous.
Ca tombe bien, quelle coincidence d'ailleurs, le gérant est justement là, il va pouvoir vous recevoir.
Et figurez vous que justement vous venez de lui baiser la main"

Fannt récupéra sa main, l'iclina dans l'autre sens afin cette fois si de pouvoir serrer la main de cet étrange personnage.

"Je suis Fanny Hackeman, propriétaire et gérante de ce magasin.
Que vouliez me proposer alors comme affaire"

Fanny l'observa d'un air amusé

Fanny, par un détour ingénieux et moqueur lui apprit qu'elle était, elle, la gérante du magasin. Narcisse resta interdit une fraction de seconde, réalisant sa bourde, puis, reprenant contenance lui sourit à nouveau, de son plus beau sourire. "Ah ben, ça.... Veuillez me pardonner, mademoiselle... Et si je vous ai offensé veuillez croire à mon plus profond regret ! Il est vrai que j'aurais dut y penser en vous voyant, vous êtes si charmante, que je n'avais pas remarqué la lueur d'intelligence qui brille dans vos yeux envoutant. Permettez moi de m'excuser à nouveau, vraiment."

Puis rassemblant ses pensées, il répondit à sa question : "Et bien, je crois que le mieux que nous puissions faire, serait d'aller voir sur place la petite affaire que je souhaites vous proposer..." Puis il s'arréta, réalisant qu'elle devait tout ignorer de lui. "Vraiment !" dit il en jouant l'énervement, "vous êtes vraiment trop adorable ! Voilà que j'en ai oublié de vous dire qui je suis !"

Il se racla la gorge, se redressa et s'inclina un bras sur le ventre pour se présenter :"Je suis Narcisse Chanterune, le nouveau tailleur, et votre serviteur, mademoiselle !"

Il se redressa et lui fit un sourire des plus charmeurs : " Peut-être accepteriez vous d'accompagner un pauvre diable fou de vous jusqu'à sa modeste boutique ?" Il y avait réfléchit : Son ignorance en matière de quidditch ne lui laissait pas beaucoup de choix. Il devait trouver le moyen de montrer le rayon de tenues de quidditch entreposé dans sa boutique, plutôt que de le décrire !

Les excuses de monsieur Chanterune parurent sincères et sonnaient agréablement aux oreilles de Fanny.

Ce personnage par sa façon d'agir et de parler amusaient la gérante qui ne put s'empêcher de sourire.

"Rassurez vous monsieur Chantenure, je ne me suis pas sentie offensée et ce n'est d'ailleurs pas la première fois que cela arrive.
Alors vous pensez que dans votre boutique quelque chose pourrais m'intéresser...ce n'est pas imossible..."

La seule chose qui pouvait intéresser Fanny était le rayon de Quiddicth que l'ancien couturier tenait.
Et c'était sûrement la raison de la venue de mr Chanterune car le Quiddicth était bien la spécialité de Fanny.
Cepedant, elle n'avait aucune idée du type de proposition que le couturier voulait lui faire sur ce rayon;aussi se laissa-t-elle tenter.

Elle se décida à le suivre.

"Très bien mr le couturier allons y je vous suis!"

Fanny passa de l'autre côté du comptoir puis se dirigea vers l'entrée du magasin.
Là, elle retourna le panneau mentionnant son retour dans une dizaine de minutes.
Elle ferma ensuite la porte de la boutique à clé puis suivit le couturier jusqu' à sa boutique.

(J'ai posté la suite ICI )

(Et j'arrive maintenant de Là !)

Quelques temps plus tard, alors que Fanny est allé à la banque régler leur affaire commune, Narcisse n'ayant rouvé personne pour l'aider, et n'ayant pas vraiment cherché, la tête prise par deux affaires qui le passionnaient (Fanny et les nouveaux uniformes), arriva devant la boutique fermée chargé d'un gros carton contenant le premier chargement de son ex rayon de quidditch.

Il le posa et souffla... Heureusement que sa propre boutique se situait presque en face... Il allait repartir lorsqu'il songea que la caisse devant la boutique pourrait tenter un malhonnète qui pourrait passer... Et même s'il était en face, il lui faudrait aller jusqu'au fond de sa boutique, sceller le deuxième gros carton et l'approter ici... Trop de temps pour que ce soit sans risque.

Il tira donc sa baguette et la fit tourner autour du colis en murmurant la formule :

"Si ton nom n'est pas Fanny,
Si ton nom n'est pas Narcisse,
Que tu essaye d'ouvrir ceci,
Que ce carton te prenne pour une saucisse,
Qu'il soit prit d'un gros apétit !"

Satisfait de son enchantement, il laissa un mot cependant, prévenant que le carton était enchanté et donc, qu'il ne valait mieux pas y toucher, et repartit vers sa boutique en chantonnant un vieux tube moldu qu'il avait entendu à la taverne quelques jours auparavant.

"... J'attends... Que le sommeil vienne... Que les chimères m'entraînent... Où s'arrète le temps.... *"

Et disparut dans son magasin...

* : "Morphée" de F.F.F.

(hé hé hé... Personne n'en a profité ? Tant mieux tant mieux... Fanny pas encore de retour de la banque ? bon bon... deuxième voyage alors.... ^^)

Narcisse réapparut à la porte de sa boutique, chargé d'un deuxième gros carton plus lourd que le premier. Il tituba, faillit renverser son fardeau sur une grosse sorcière qui passait dans la rue... "Oh pardon m'dam..." Lui sourit, galant, pendant que l'autre s'échappait rouge pivoine, et arriva enfin devant le Paradis du Quidditch. Il posa lourdement le deuxième carton sur le premier et regarda autour de lui. Le premier carton ne semblait pas avoir bougé, donc aucune "saucisse" n'avait essayé de l'ouvrir... Puis relevant la tête vers la vitrine, il aperçut le petit panneau de Fanny qui indiquait toujours "fermé". *Pas encore rentrée ? Jolie Fanny ? Bon... Ben je vais continuer de me prendre pour un déménageur moldu...* Son regard se perdit un instant en direction de la banque... Elle avait parlé d'un café dés que tout ceci serait chez elle... Il soupira, joyeux...

Il ressortit sa baguette et refit son enchantement sur le deuxième carton et remit son petit mot d'avertissement bien en évidence...

Citation :

"Attention, danger... CArtons enchantés - Ne pas toucher...."

Il sourit devant l'effet, et repartit une troisième fois vers son propre magasin. Cette fois, il s'agissait de mettre ce qui restait dans un dernier carton, et ça allait être dur car il en restait pas mal...

Soupirant d'abord devant la tâche à accomplir, puis se disant qu'il pourrait le faire léviter, il secoua la tête... *Pff... Boh... Y a qu'une rue à traverser !* Puis il se remit à chanter et disparut dans sa boutique dont l'enseigne se balançait doucement dans le vent qui venait de se lever timidement.

Après son petit réglement à la banque, Fanny repartit tout souriante à sa boutique.
Qaund elle arriva, pensant juste à avoir à ouvrir la porte de son magasin, un peu la tête alleurs, elle se cogna dans deux grands cartons.

Quelqu'un avait laissé un petit mot sur le dessus signalant qu'il s'agissait de cartons enchantés et donc sûrement protégés.

Fanny eut un petit rire amusé, qu'il était prévoyant ce Narcisse.

Vu qu'il n'était pas là, Fanny en conclut qu'il lui restait environ un très gros carton à faire.
Il ne perdait vraiment pas de temps.

Elle réfléchit un moment et se dit que les cartons ne devraient normalement pas lui opposer de résistance car elle en était la propriétaire.
Elle l'espérait du moins.

Elle en prit un le plus prudemment du monde et ....rien ne se produisit, c'était bon.

Elle traina le premier puis le deuxième carton jusqu'à son comptoir et attendit Narcisse avec le dernier.

La voix sublime de Narcisse s'éleva peu à peu de la boutique alors que derrière lui, un carton prèt à exploser le suivait en lévitant.

"Looord, I would diiiiie for you, ... Take this heeeeart away,... Find some space in the sunshiiiine, ... Loord, I would tryyyy for youuu, ... Take this paaart away, Faaaade it awaaaay..." *

Il traversa la rue tout en chantant, heureux de ce que le futur lui réservait... *les femmes aussi...* Puis, il se rendit compte que les cartons déjà emmenés avaient disparut. Il cessa de chanter tout de suite. Il regarda à droite à moitié affolé. Il regarda à gauche, de plus en plus inquiet, et puis complètement affolé regarda la porte du magasin de quidditch. Le petit panneau du magasin de Fanny était tourné sur ouvert. Il ne comprit pas tout de suite ce que cela signifiait, et puis tout à coup, la lumière se fit : Fanny était revennue, et elle avait sûrement rentré les cartons. *Courageuse la petite!* se dit il avec un grand sourire...

Il fit signe au carton de le suivre de sa baguette, et entra dans le magasin, comme d'habitude, tout sourire. "Chère Fanny !" Il fit déposer le carton près des deux autres. "Et voilà, tout est là ?ah ah ah !" Il était plutôt content de lui. Fanny lui avait proposé d'aller prndre un café dès que les cartons seraient chez elle. Tétu comme une mule, il s'en souvenait parfaitement...

* "Slip Slide Melting" de For love not Lisa.

Fanny eut à peine le temps d'ouvrir les premiers cartons que Narcisse arriva avec le dernier, près à exploser tellement il était rempli.

*Il ne manque pas de courage car ils sont tout de même bien lourds ces cartons*

Fanny se décala légèrement pour laisser à Narcisse la place de poser le carton.

"Mettez le là Narcisse.

Je vous remercie de me les avoir emmener c'était un gros travail.

Il me semble que je vous avais promis un café. Si cette proposition vous va toujours peut être pourrions nous y aller? Qu'en dites vous?"

Fanny avait vraiment envie d'aller boire ce café. Narcisse était quelqu'un de fort sympathique

Narcisse rayonnait. Fanny admirait son travail et en plus, désirait aller prendre le café tant espéré. Il fit son sourire le plus charmeur à la commerçante et sans prononcer un mot de plus, lui tendit son bras. Il l'entraina vers la sortie :

"Très chère Fanny, que diriez vous d'aller à ce petit salon de thé, au bout de la rue ?" demanda t-il en sortant, heureux comme un chercheur d'or qui aurait trouvé carrément une gemme précieuse. Il la regarda de ses yeux vairons, admiratif... *Quelle perle !*

Ils déscendirent la rue jusqu'à la petite douceur, mais là, Narcisse fit un détour par la boutique d'à coté. "Oh, permettez moi de m'éclipser cinq petite minutes ! J'ai une petite course à faire, je vous rejoint tout de suite à la petite douceur.... "

Il la laissa entrer à la petite douceur, tout en la regardant, puis, dès qu'elle eut disparut, entra en trombe dans la boutique de fleurs...

(La suite de mes aventures, ici)