Cours de runes : quête pour des palets personnalisés

[HJ : Argh, et voilà mes élèves qui se dispersent et vont à la rivière alors que je comptais les mener au désert de roches !

Bah, ça m'apprendra à me faire hospitaliser ! ]

Bien que la couleur dorée du désert soit déjà visible au loin, parmi la semi-obsurité verte des arbres, un gargouillis frais provenant de la rivière avait de toute évidence attiré plusieurs élèves.

Haussant ses épaules osseuses, Darius appela les autres enfants, de cette voix bien audible, mais moins sonore que d'habitude, qu'il semblait réserver à la forêt.

"Faisons un détour par la rivière, suivez-moi."

Les rivères charriaient en effet un tas de choses potentiellement intéressantes. D'ailleurs, il aurait dû y penser.
Il nota néanmoins soigneusement le chemin, en espérant que cela ne les retarderait pas trop. Il faudrait ensuite aller et revenir du désert, et il serait sans doute assez tard.
Mais bon, à sa connaissance, aucun règlement n'interdisait de finir ses cours à la nuit tombée...

[HJ : Pour ceux qui veulent vraiment se perdre en forêt, ne vous gênez pas : je garde un oeil sur ce post !]

Charles furetait de-ci de-là et piqua même une toute petite plume blanche, cachées sous une racine d'arbre. Le garçon c'était transformé en véritable radar à plume.
C'est pourquoi il ne réagit pas tout de suite quand le professeur proprosa ses aiguilles aux élèves. Mais finalement le garçon réalisaa qu'il était interpelait au même titre que les aures.
IL retourna vers Monsieur Hautecaste, et rangea délicatement la plume avec l'autre dans son origami.
Il pris ensuite l'aiguille, en remerciant son professeur d'un signe de tête. Il sapprêtait à retourner prés des arbres, guettant des nids où les oisillons auraient pu perdrent leur plumes. Il est vrai que le garçon s'interressait plu aux petites plumes fines et douces à peine sortient du duvet. Mais lorsque comme Margoth il vit le grand oiseau barrer le ciel de ses couleurs, il s'en approcha, et se trouva à côté de la jeune fille quand la plume se posa dans es mains.
Le garçon la regarda, fasciné, hésitant à en prendre une à son tour. Qu'est ce qu'elle était jolie ! Il releva la tête vers Margoth, et s'adressa à elle, très calemment,

"Elle est très jolie celle-ci. Dommage qu'elle n'aille pas avec les autres que j'ai récupéré."

Dit il en haussant les épaules et en regardant l'intrieur de son petit paquet, avec une pointe de regrés. Mais les deux petites plumes, qui se trouvaient au fond étaient tellement mignones, que cela le confrta encore plus dans son choix d'unité.
Juste avant de reprendre sa propre recherche, il glissa à la grande Terro,

"Bonne recherche. "

Puis il repartit zyeuter le cîmes des arbres, et le ciel qui se trouvit au-dessus.
Le groupe commença à se diriger vers la rivière, mais Charles ne suivit pas, accaparé par sa collection, il en avait oublié sa résolution de très bien se tenir pendant le cours. Il y avait certainement de très belles espèces d'oiseaux qui vivaient vers la rivière, mais ici, dans la foret, il y en avait une plus grande quantitée, d'ailleurs, le garçon repéra assez vite un nid qui se trouvait en haut d'un grand arbre. Sauf qu'a la différence des autres nids qu'il avait pu identifier, les habitants de celui ci n'étaient pas tous de la même couleur, et mieux encore, ces couleurs étaient très très vives.

* Ce qu'il faudrait, c'est que j'arrive à monter en haut. *

Margoth n'avait pas remarqué Charles à ses côtés, trop perdue dans son trouble devant cette sorte de cadeau tombé du ciel. Elle tourna donc vivement la tête vers lui quand il lui parla et sourit, fière évidement d'entendre dire que SA plume était très jolie.

"Oui merci...c'est vrai qu'elle est belle!" dit-elle en regardant de nouveau sa plume.

L'aeri semblait vouloir trouver des choses qui allaient ensemble, quand Margoth ne voulait que des pièces uniques.

"Merci...toi aussi..." lui dit-elle quand il lui souhaita une bonne recherche.

Elle le regarda s'éloigner vers un arbre, tandis que d'autres élèves partaient vers la rivière. Elle suivit finalement le groupe qui allait vers l'eau, désireuse de trouver là-bas, dans un contexte différent, peut-être une nouvelle pièce spéciale...

(suite à la rivière...)

(hj : Même lien que Margoth)

Charly se retrouva assez vite seul dans la foret. Il ne s'en aperçut pas du tout, alors que le reste du groupe se dirigeait vers la rivière. Mais quel intérêt avait il à se pointer à la rivière ? Surtout qu'il se trouvait juste en dessous d'un nid qui avait tout de la caverne aux merveilles.

Il fronça les sourcils un peu embêter quand même, comment allait il faire. Il ne pouvait pas passer à côté de telles pièces, mais il ne savait pas comment monter en haut de cet arbre et il était hors de question d'utiliser un balais, car cela impliquait qu'il dusse rentrer au château. Le deuxième problème c'était le respect de ces animaux, on ne pouvait décemment pas déranger un nid de cette manière pour une simple collection de plumes pour son jeu de runes.

Bien, en tout cas la seule chose qui était sure, c'est que si il voulait ces plumes il lui faudrait en tout les cas monter sur cet arbres. Et il entreprit donc son escalade sans avoir la moindre pensée pour la responsabilité du professeur Hautecaste dans cette histoire.

Il hissa son premier pied dans le creux que formait de branches puis souffla au moment de se hisser. Il attrapa une branche encore un peu au-dessus à la volé et força sur ses bras pour rester en équilibre en même temps qu'il cherchait d'autres prises acceptables.
Il y en avait une assez basse pour ses pied, amis elle était trop loin, et la seule autre proposition acceptable était la branche sur laquelle il avait sa main. De l'autre main il saisi le tronc et cala son pied droit sur une protubérance du tronc et tenta de gravir à la force de ses bras et de sa jambe droite pour atteindre le niveau de la branche avec la jambe gauche, mais son pied dérapa et n'assura plus ses mains qui n'avaient pas de bonnes prises sur l'arbre et qui lâchèrent? Elle glissèrent le long du tronc et se râpèrent assez douloureusement à l'écorce. mais cela eu au moins la faculté de ralentir sa chute et il ne tomba pas au sol de trop haut.
Il tomba d'abord dur les fesses, et cela lui fit extrêmement mal. IL resta allonger un moment en se tordant de douleur puis regarda ses mains et sentit ses lèvres trembler.

*Ca fait maaaal! *

Elle étaient salle et leur seul vision le faisait souffrir. Lorsque la douleur sur ses fesses devint moins vive il s'assit et souffla sur ses mains pour les rafraîchir. C'est alors qu'il entendit un petit rire.

Il se tourna vers l'origine de cette voix et tomba sur un buisson, duquel dépassait un petit chapeau.
Charles était très agacé, mais il avait encore trop mal pour se lever et constater de lui-même qui se raillait de lui. Heureusement il n'eut pas à faire le moindre effort car un petit lutin sortit de sa cachette. Plié en deux, avec une grosse fleur à la main. il n'avait pas l'air particulièrement agressif, mais il énervait Charly. le garçon soupira de désolation, il avait toujours trouvé les lutins complètement crétins. Mais il n'en avait jamais vu aussi bien, sa curiosité le poussa alors à se montra plus amical (d'autant plus que cet être là était certainement dans la capacité de lui dégoter une petit plume).

"Bien./ je me présente, je suis Charles, et j'ai mal vois-tu. "

C'était drôle de voir les humains se prendre pour des oiseaux ! Mais le plus drôle, c'était de les voir se tortiller de douleur quand ils retombaient de leurs illusions ! Le petit d'homme souffrait et Pelinogratini le lutin le trouvait hilarant.

Il aurait put se fâcher d'un tel comportement mais Pelinogratini le lutin ne risquait rien : Les humains se déplaçaient trop lentement pour vraiment être dangereux ! Mais le petit d'homme préféra rester calme et se présenter à lui. Il s'appelait Charles. Quelle drôle d'idée ! De vrais clowns ces humains ! Comment pouvait on décemment avoir un nom si court ? Ridicule.

Tant et si bien que Pelinogratini le lutin pouffa à entendre ça. Mais si seulement ce clown de petit d'homme s'était contenté de porter un nom si hilarant ! Mais non, en plus il lui disait avoir mal. Oui, ça, Pelinogratini le lutin s'esclaffa derechef. Se tenant le ventre sous son fou rire, il réussit à articuler :

" - Comment les humains hi hi hi comme toi hou hou hou si drôle ho ho ho arrivent à être ? Hi hi hi... Que tu as mal je vois bien hi hi hi... Et ce nom ?"

Cette fois, ils se roulait à terre.

" - Jamais un nom aussi ridicule Pelinogratini le lutin a entendu ! hou hou hou... Charles... Pfff.... Et dans ton village drôles ils le sont tous comme toi ? pfff pfff... Comment votre sérieux arrivez vous à garder ? Très dur ça doit être... hou la la !"

Une vraie plaie ce lutin, une vraie de vraie, pire un énooorme boulet. Charles le regardait faire atterré, ne sachant pas si il devait avoir mal, se mettre en colère ou passer son chemin.
Mais Charles était un garçon plutôt calme, et qui de plus n'était pas très sanguin, ou pour dire cela autrement, peu émotif. Il laissa donc le lutin se gausser de sa personne sans broncher. le lutin pouvait se moquer de "Charles", tant qu'il ne se moquait pas de "Volepiaire" le garçon aurait les idées claires.
Car en plus d'être un être calme et patient, Charles avait de la suite dansles idées, et ne perdait pas le nord pour arriver à ses fin. Il ne manqua pas de remarquer le nom encore plus risible de ce satané lutin: Pelinogratini. Charles passa outre, et décida d'entrer dans son jeu, car il avat u nplan, il allait se servir de ce lutin pour atteindre les plumes en haut. Oui, c'était ça la solution. Charles n'avait pas la capacité de monter dans l'arbre, mais encore moins celle d'attraper délicatement ces plumes sans déranger l enid. Le lutin, lui, était un être de la nature, il la comprenait mieux et pouvait en obtenir bien plus de chose. Finalement c'était un fabuleux intermédiaire.
Charles lutta donc contre son envie de fausser compagnie à cet affreux personnages et chercha un feinte chez cette petite chose.

En continuant d'essayer d'atténuer la douleur il parla avec un air un peu détacher au lutin, il ne voulait pas trop avoir l'air intéressé,

"Eh bien oui, dans mon villages nous avons tous des noms un peu pareil. Il y Maeve, Keira mais aussi Gwen, Rémi, Paul, beaucoup de noms qui sont beaucoup plus court que les votre."

Difficile de trouver un moyen de revenir au sujet qui l' intéressé sans être trop brusque,

"Pelinogratini, j'aime bien comme nom, comment s'appelle les autre lutins ?"

Charles aurait bien aimé avoir un ton un peu plus enjoué, mais déjà qu'il fallait déployer des merveilles pour lui sortir un sourire en temps normal, mais lorsqu'il souffrait c'était encore pire. Il attendant la réaction du lutin à cette première tentative de discussion et puis improviserait au mieux (car ce n'était pas son fort) suivant la tendance que les choses prendraient. Il croyait savoir, cependant, que les lutins aimaient bien être flattés.

Le lutin essuyant une larme d'hilarité se calma un peu et écouta la suite du numéro de l'humain. Celui ci avait prit le parti d'en rire car il continua en énumérant les noms de quelques uns de ces amis...

" - Maève ? Pffff.... hi hi.... Keira ? Ouh ouh ouh... " le fou rire menaçait de le reprendre. " - Gwen ? wha ha ha ha ! Non ! Assez... assez... Rémi ? Ouh ouh ouh Pelinogratini le lutin n'en peux plus uh uh uh Pau o o o l ? Ouh ouh... " Le lutin se tordait de nouveau de rire. Il lui fallut bien une bonne minute pour se calmer et répondre à l'enfant.

" - Oui... Un très beau nom Pelinogratini le lutin a... En tout cas pas aussi drôle que celui que Charles a ! Mais le plus joli nom Pelinogratini le lutin n'a pas ! Un plus joli nom Yoyogantinio a et Trantinoplanini aussi... Mais celui que Pelinogratini le lutin préfère est Rotabagoboubou et ma fiancée c'est. Comme Charles le voit, chez les lutins, sérieux on est ! Un dernier ! Tiens ! Wogatananvalé le nom de notre chef est..." dit il avec une grande fierté, adressant un sourire lumineux au garçon.

Il avait l'air sympathique ce petit d'homme... Pelinogratini le lutin serait bien resté longtemps avec lui, voir ce qu'il mangeait, comment il dormait... S'il tombait malade et comment le soigner... Peut-être même le regarder grandir. Les petits d'hommes grandissaient d'après Rotabagoboubou. Ça aurait été amusant de le prendre avec lui mais Wogatananvalé son chef n'aurait peut-être pas été d'accord pour emmener cet animal imposant dans son petit village... Mais s'il le gardait un peu plus loin ? Peut-être ?

Il n'aurait qu'à lui construire une hutte... Une grande hutte et il passerait tous les jours lui rendre visite ? Bien sûr ce serait une responsabilité surtout s'il devait veiller à ce que le petit d'homme ne casse pas tout autour de lui... Et puis, il ne vivrait pas longtemps par rapport à la presque immortalité de sa race... Songeant à cela, le lutin imagina la tristesse de perdre un être auquel il se serait attaché... Finalement, il renonça à l'idée d'adopter le petit d'homme... Mais l'idée lui avait parut séduisante...

A l'origine Charles n'est pas un très fin manipulateur, donc il fallait croire que les lutins étaient des êtres bien facile à se mettre dans la poche. en tout cas il sembla à Charles qu'il avait réussi son coup, car voila son petit compagnons magique tordu de rire, mais mieux encore, lui parlant de son village, de ses amis, de sa fiancée et todo la familia. Il l'écouta avec un très grand intérêt, heureusement pour lui il n'était pas de nature très moqueuse, ni même d'humeur à se gondoler de rire, donc il n'eu pas de mal à garder son serieux devant cete déferlente de noms plus absurdes les uns que les autres.

" Eh bien, se sont de sacrés noms. Ils ont une fort jolie sonorité, on pourrait en faire des chansons."

Ce n'était pas un mensonge, sinon Charles n'aurait jamais pensé à dire cela. Charles aimait bien les mots biscornus, même si il se serait bien gardé de les donner comme noms. Il lui fallait maintenant peser aux choses serieuses, le lutin lui avait dit qu'il avait une fiancée, il y avait certainement quelqur chose à en tirer,

" Tu as une fiancée alors? Tu lui offres des cadeau parfois? "

Peut être aurait il envie de lui offrir l'une de ces jolies plumes colorées qui se trouvait dans le nid. Mais Charles devait s'y prendre calmement, els lutins étaient des être joyeux et sympathique pour peu qu'on les brosse dans le sens du poil, mais ils étaient surtout des habitants de la foret à part entière et Charles ne devait pas donner l'impression qu'il cherchait à dépouiller son habitat ou à faire du mal aux animaux.

"Elle aime les plumes? "

Au pire il pourrait toujours lui proposer un échange, les plumes contre ... Contre... bah, il faudrait voir.

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