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 Tsiouwi (Feuilledecèdre) Ontontsuan

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Tsiouwi
Invité




Tsiouwi (Feuilledecèdre) Ontontsuan Empty
MessageSujet: Tsiouwi (Feuilledecèdre) Ontontsuan   Tsiouwi (Feuilledecèdre) Ontontsuan EmptySam 13 Nov - 22:53

Nom : Ontontsuan (de la tribu des paroles des bois)

Prénom : Tsiouwi (Feuilledecèdre)

Âge : 12 ans

Histoire : De l’autre côté du monde, se trouve un peuple dont on entend parfois parler dans les légendes. On les nomment « indiens », « autochtones » ou même « sauvages » mais eux se nomment « Gardiens ». Leur légendes racontent qu’ils ont été mis sur la terre par le Grand Esprit pour veiller sur les peuples des plantes et animaux qui l’habite.
Les Gardiens se divisent en plusieurs tribus, Chacune sachant soigner à sa manière les blessures des peuples terrestres. Parmi eux, la tribu des Ontsontuan (paroles des bois) est renommé pour sa complicité avec le peuple debout (arbres) avec lequel ils ont de longues conversations. On les consulte depuis des millénaires pour tout problème grave qui concerne ce peuple.

Tsiouwi est née au sein de cette tribu. Lorsqu’elle ne demanda plus de lait, on la présenta aux arbres qui lui donnèrent le nom de « Feuilledecèdre ». Les anciens furent étonnés car les cèdres à vrai dire n’ont pas vraiment de feuilles mais le peuple debout avait parlé…
Tsiouwi grandit heureuse parmi les siens, apprenant de sa mère comment vivre en forêt, tanner les peaux , broder, et allumer le feu d’un mot. La vieille Mamu ueshish,
(femmeauxesprits) avait annoncée que Tsioui plaisait aux arbres et serait donc initiée à la conversation forestière et aux traditions des chamans à son seizième hivers… De l’avis de la jeune fille c’était bien trop long , mais il en allait ainsi dans sa tribu.

Rien cependant, n’avait expliqué son nom surprenant, jusqu’au jour où on aperçu une drôle de dame pendue à une branche au bout de son collet. On s’en fut la quérir et on la soigna. Elle ne portait rien sinon un gros objet bizarre que nul n’aurait su décrire. Elle se remit lentement, et se montra amicale et fort curieuse de la langue des Ontsontuan. On l’appela Nitinat, « Tombéeduvent ». Grâce aux sorts de « langues commune » de la vieille Mamu, elle pu raconter, avec bien des signes, qu’elle volait sur une espèce de « branche à nettoyer » quand arriva un terrible ouragan venu de nulle part qui l’emmena jusqu’à la forêt profonde où on l’avait trouvée. Les anciens comprirent que l’étrangère était venue sur le dos du Grand Esprit et l’invitèrent à rester auprès d’eux.

Elle se montra tout de suite vivement intéressée par le savoir des sorciers qui maîtrisent d’une façon qui leur est propre, tant l’ensorcellement, ou les potions que les métamorphoses. L’étrangère s’émerveilla que ces nations n’utilisent pas de baguettes pour manier la magie mais seulement les puissantes alliances avec les esprits sur lesquels ils veillent,
Souvent Nitinat passait des heures devant son « objet » tombé avec elle où elle gravait des formes minuscules en pestant contre la perte de son « bâton à magie ». Tsiouwi voulu comprendre ce mystère de l’objet tombé. L’étrangère lui expliqua donc de son mieux ce qu’était un livre. Fascinée par les page dorées, Tsiouwi vint voir le livre chaque jour si bien que l’étrangère se mit patiemment à lui apprendre à lire et écrire dans sa langue aux drôles de sons. Les anciens dirent entre eux que là était le mystère de son nom, Feuilledecèdre aimait faire parler les feuilles qui ne poussent pas aux arbres.

Lorsque l’ours eut hiberné cinq fois, l’étrangère voulut partir. On lui offrit un canot et elle s’en fut, promettant de revenir, ce qu’elle fit, 20 lunes plus tard. Elle alla voir les anciens et leur dit que sur sa terre, une forêt était très en colère, au point de prélever le tribut du sang chez quiconque ne se gardait d’elle. Le grand peuple de la Paroledesbois viendrait-il parlementer avec la forêt enragée de l’autre côté du monde ? Après trois soleil à discuter et à consulter les esprits de la forêts, les Ontsontuan acceptèrent et le cœur de Tsioui fut dans la joie en apprenant qu’elle serait du voyage avec ses parents.

On chargea les canots et on partit. Une demi-lune entière, l’expédition rama sur les nuages au grand désespoir de Tsioui qui détestait voler. Par chance sa mère avait le secret de bonnes potions à dormir. De potion en potion, après un voyage interminable par delà l’océan ils finirent par atterrir sur la terre de l’étrangère. Averti de demeurer discret, ministère de la magie leur fit bon accueil dans les bois de ( Pied en pot ?) puis, (tout en grommelant qu’il fallait être rendu bien bas pour référer à des sauvages qui ne savaient même pas utiliser une baguette), ils les laissèrent en compagnie du personnel chargé de les aider dans leur mission. Les Ontontsuan montèrent rapidement leurs tentes puis s’émerveillèrent de toutes les nouvelles espèces d’arbres et de plantes qui les saluaient surpris de voir des humains comprendre leur langage. On commença à se préparer à affronter la colère de la forêt. Pour faire de la magie, ils fallait rassembler les puissants alliés esprits et les rassurer car ils étaient pour la première fois de leur histoire d’esprits, bien loin de chez eux.

Tsioui trouva merveilleux de pouvoir comprendre les paroles des étrangers qui restaient avec eux mais les sorts de « langues communes » des sorciers Gardiens étaient plus efficaces que ses traductions approximatives. Elle eut aussi aimé voir les bâtons à magie en action mais tout le monde était fébrile, il fallait faire vite et personne ne s’occupait vraiment d’elle. Au loin, elle voyait d’étranges « collines » carrées (maisons)…et des formes bizarres, elle avait bien hâte d’aller voir tout ça de plus près.

Un soir, comme la sagamité (soupe) bouillait sur le feu, la mère de Tsiouwi la regarda gravement : « Feuilledecèdre, le peuple debout m’a parlé. Ils m’ont dit qu’au loin, il y a un grand bois très ancien qui abrite de nombreux esprits. c’est un des cœurs du grand corps d’écorce du territoire qui s’étend ici. Dans cette forêt, il y a Cellequiveille, sa tribu se nomme « Élémentia » et auprès d’elle il y a des « livres » comme tu aimes. Tombéeduvent dit que tu pourrais demeurer là bas auprès des « livres » et même que tu apprendrais la coutume des « bâtonsàmagie »… veux-tu que nous envoyons un message pour toi ?

Tsiouwi fut très surprise…quoi, laisser sa tribu ? Elle se sentait déjà un peu perdue ici, alors aller encore plus loin….toute seule…Mais là bas, il y avait des livres….et même des bâtonsàmagie…Jamais dans sa tribu on avait vu de telles choses…
Sans rien dire elle s’en fut et disparut parmi les arbres étrangers. Au matin elle revint sereine et demanda d’envoyer le message. Tombéeduvent rédigea une lettre que lui dicta la mère de Tsioui, puis la vieille Mamu appela le vent qui emporta la feuille par delà les nuages…Il ne restait qu’à attendre une réponse de Cellequiveille.


Caractère : Comme tous les gens de son monde, Tsiouwi est très patiente. Elle sait attendre l’arrivé d’un lièvre, immobile pendant des heures, par contre elle déteste ne pas réussir ce qu’elle entreprend et dans ces cas peut faire de drôles de colères. Elle est curieuse et attentive aux sentiments de ceux qui l’entoure, humains ou non, comme il convient à ceux qui seront initiés aux savoir des chamans.

Physique : Tsiouwi a la peau basanée, de longs et fort cheveux noirs et des yeux bridés encore plus noirs. Son regard est profond comme si il connaissait quelque secrets appris au fond des bois. Comme tout le monde chez-elle, son visage semble un peu mutin comme celui d’un esprit follet enfantin. Elle porte toujours quelques plumes accrochées à ses cheveux ainsi que des billes de bois qui ne s’enlèvent pas. Elle ne sort jamais sans son collier-aux-esprits garni de griffes d’ours qui lui assure protection. Par temps froid, elle porte une lourde peau d’ours noir qui sent un peu la fumée et le zoo.(c’est moi qui est fait l’avatar donc c’est vraiment à cela qu’elle ressemble)

Particularité : Dans son monde, à part de savoir lire, Tsiouwi n’a rien de particulier. Dans le monde d’Élémentia par contre l’ensemble de ce qu’elle est peut sembler particulier. Premièrement, elle ne parle pas parfaitement le français, n’a vécu que dans des tentes enfumées, n’a jamais vu de véritable ligne droite et ne s’est jamais servi d’une fourchette. Par contre, elle sait tanner les peaux, faire la danse de la pluie, et ressentir (comme tous les gens de son âge) les émotions fortes et les douleurs des forêts.
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Tsiouwi
Invité




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MessageSujet: Re: Tsiouwi (Feuilledecèdre) Ontontsuan   Tsiouwi (Feuilledecèdre) Ontontsuan EmptyVen 4 Mar - 2:45

Comptabilité

200 M - 20 M (baguette, poil d'ours) = 180 M
180 M - 40 M (livres de 1ere année) = 140 M
140 M - 23 M, 8 C (uniforme et divers) = 116 M, 2 C
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