Professer Willyam anderson

Prénom : Willyam
Age: 25 ans
Histoire :
Willyam est né dans la campagne du royaume incartable de Hurgs. Dans famille de sorciers peut nombreux. Il a partagé pendant tout son enfance sa vie avec sa sœur (Yllia) et sont frère (The Rai), séparé de ses parents par le résultat des actions des mages noirs (l’empire de Hurgs et maintenant en grandes partie déserté et est malheureusement célèbre pour avoir été le repaire d’un grand nombre de sorciers noirs pendant de nombreuses années). Durant cette période Willyam apprit les arts rudimentaires de la magie grâce à sa sœur et étudia les bases de ce monde, ses créatures et son histoire avec son frère.
La famille coulait des moments tranquilles jusqu’au jour où le frère de Willyam fut assassiné par les magiciens d’une secte croissante à l’époque (Elle aussi malheureusement connue maintenant), Willyam avait 6 ans. La sœur de Willyam ne supporta pas cette acte, elle commença à sombrer dans une démence lente, devenant au fil des jours plus démente que les sorciers responsables de la mort de son frère, son père ou sa mère. Yllia commença un long voyage deux ans après cette histoire, emportant son frère, elle passa dans de nombreux villages, étudia de près les arts attrayants de la magie de noire, tuait à chacun de ses passages un sorcier pour ses études maléfiques (les bibliothèques de Hurgs sont, et resteront encore longtemps, les cavernes d’un nombres incomparable de grimoires dont les études nécessitaient un sang frai et nouveau pour être ouverts à chaque fois) puis disparaissait avant la découverte du meurtre. Le petit Willyam suivit 3 ans sa sœur, assistant aux meurtres et participant parfois à l’acte, il tua bien malgré lui deux sorciers.
La furie de sa sœur s’arrêta avec elle, elle mourut 5 ans après la mort de son frère, s’étant attaquée à un sorcier âgé, qu’elle prenait pour une cible facile, du nom de John Fulmeck. Déjà averti du danger que représentait cette personne avec l’aide de nombreuses rumeurs qui précédaient le groupe. il tua Yllia, protégeant sa vie et recueillit le petit Willyam alors qu’il avait 11 ans, bien contre l’avis de nombreux de ses contemporains qui voyaient dans le jeune garçon un futur mage noir aussi sanglant que sa sœur.
La santé mentale de Willyam était précaire, mais John ne voulait pas désespérer. lors des onze ans de Willyam les lettres d’admissions dans les écoles de magie ne furent pas au rendez-vous, les exploits de sa sœur faisaient bien trop de charges pour n’importe quel directeur. Et ce fut John qui apprit à Willyam les bases de la magie, bon professeur il dénigra pourtant la discipline, et Willyam fut, et est toujours, quelqu’un qui avait un grand problème avec un règlement intérieur quelconque, et ne s’occupait gère des soucis d’éthique autre que ceux enseignés par John.
Durant toute la période de sa vie avec John, Willyam devint un jeune homme de plus en plus ambitieux, si les enseignements de John dénigraient la discipline, ils étaient tous entiers quant à la morale et Willyam apprit rapidement avec son mentor les bonnes manières, la bienséance et le respect des autres. Si Willyam semble avoir légèrement oublié les deux premières il garda avec lui la troisième qui devint son flambeau, Willyam avait finit pas haïr sa sœur et le mal qu’elle avait causé, malgré les paroles de John, Willyam n’arrivait pas à lui pardonner, mais il faut dire que l’histoire de sa sœur était morte en quasi-totalité avec elle, y comprit la raison de la haine qui l’avait animée.
Parmi tous les arts de la magie Willyam apprit à en maîtriser un bon nombre, si il se refusait à comprendre quoi que ce soit sur l’art très nébuleux de la divination, des songes ou de la botanique. Il maîtrisât plutôt bien l’art des sortilèges, et étudia avec attention les moldus, il semblait d’ailleurs leurs vouer une affection particulière, les " pauvres ignorants " comme ils les nommaient sont devenus pendant deux ans un sujet d’étude très poussé, étude pendant laquelle Willyam vécu à leur contact sept jours sur sept. Enfin les arts où Willyam donnait le meilleur de lui même sont ceux de l’invocation et de l’illusion, deux thèmes rares et peut connus dans lesquels son mentor John était un véritable génie (faire apparaître une invocation de phénix est un exploit encore inégalé de nos jours) et en lesquels Willyam est devenu professeur maintenant.
Le jour de la mort de John Willyam avait 18 ans. Il parti de sa terre natale, le petit royaume incartable du Hurgs était devenu sa bête noire, les échos de ses exploits familiaux étaient bien trop lourds à porter et il choisit la facilité fuyant pour arriver dans un pays où il était alors inconnu. Il passa une période de deux ans à s'habituer à son nouveau pays, il fit ses études (les premières vrai études de Willyam) dans le droits et la juridiction, étrange sujet il était sûrement attiré par l’autorité tant qu’elle venait de lui. Durant ses études il fut considéré comme " sûrement le plus juste des futurs hommes de loi de la magie ", il appliquait simplement les principes que lui avait légués John, respect et égalité de droits, Willyam ne prenait jamais parti pour quelque affaire que se soit et préférait appliquer une logique moldue qu’il avait trouvé amusante, une logique mathématique et calculée, sa voie était toute tracée et bon nombre de ses camarades lui promettaient déjà leurs voix si il venait à être appelé à de plus hautes fonctions.
Pourtant malgré ses capacités il fut exclut avant l’obtention de son diplôme, son manque de rigueur et surtout son manque de discipline face à l’autorité avaient été pour lui bien plus fort que son amour envers l’autorité de plus Willyam ne voulait pas devenir comme ces hommes que l’on regarde, le poids de leurs charges leur montant et leur brûlant la moindre part de réalisme et d’espoir, deux capacité qu’il voulait absolument obtenir. Bien qu’il ne trouva pas de travail sauf chez deux ou trois commerçants, Willyam voulait devenir professeur, sont nouveau rêve était de transmettre ses connaissances à la jeune génération et transformer l’autorité incontestable du professeur. Mais sa pédagogie était loin de convenir aux directeurs chez lesquels il se présenta en temps que professeur en illusions et invocations, cours peut connus pour ne pas dire inconnus.
Enfin il ne trouva pas de travail jusqu’à ses 25 ans, jour où il fit la connaissance d’Elementia et de sa directrice.
Caractère : Lunatique au possible, il est impossible de deviner son humeur à peu près aussi changeante que les amours d’une vénale. Enfin dans ces bons moments (ceux où l’on peut comprendre ses réactions) Willyam et un vrai précurseur de nouveautés, toujours utile et un peu touche à tout dans la limite du possible. De plus il ne prend jamais parti quand il faut résoudre un problème. De réflexion calme, calculée et méthodique ses deux grands principes sont le pardon et l’égalité des droits (attention l’égalité et non l’équité), il ne favorisera jamais un élève pour un autre à moins d’avoir de vrais raisons.
Enfin il arrive qu’il soit le seul à les trouver justifiées. En raison de son jeune âge pour un professeur ? Peut être.
Physique : De vue Willyam donne plutôt l’impression de quelqu’un d’âgé que d’un jeune professeur, ses habits semblent sortir tout droit de la malle du grenier et sa démarche ou sa posture n’a rien à voir avec celle de la jeunesse de la magie. Pourtant vu de près le contraste entre ses vêtements et son âge se remarque immédiatement rien à dire il est bien jeune.
Toujours à la mode mais pas de la bonne année quoi.
Particularités: Personnalité à part, sa pédagogie en tant que professeur et largement différente, pour lui les termes " grimoires ", " devoirs écrits ", " rédaction " et " longue nuit de travail, exténuante et ennuyeuse au possible " seraient à bannir du langage des élèves. Sa pédagogie ? travail d’équipe, de terrain, ambitions, amitié, humour (dans la limite du possible) et surtout respect.
Il arrive parfois à Willyam de se réveiller en hurlant quand on lui demande il décrit un cauchemar du genre " poursuivit par un basilic avec des machmalos verts au lieu des yeux ", ce qui par moment fait sourire ses interlocuteurs. Même si ces derniers savent que dans les hurlement de Willyam il est possible d’entendre " Sœur ! "